Sylvie Gueunoun : "une belle rencontre avec Léonard de Vinci et François 1er"


Bonjour Sylvie, pouvez-vous résumer votre livre en quelques phrases ?

A la fin de sa vie, Léonard de Vinci, alors à Rome, est invité par François Ier à venir s’installer en France, au Manoir de Clou, pour y travailler en toute liberté.

Chaque jour, il dessine, écrit, peint, expérimente, et projette avec le roi la transformation du château de Romorantin, château de son enfance, jusqu’à l'élaboration d’un palais gigantesque, d’une cité idéale.
 

Votre livre évoque Léonard de Vinci, qu’est-ce qui vous a donné l’idée de cette thématique ?

Un ami en Sologne, où j’ai grandi, m’a suggéré ce sujet, il m’a fait part de la thèse de Pedretti qui traitait de ce projet de Léonard, peu connu du grand public.
 


 

Comment vous êtes-vous documentée pour écrire votre histoire ?

J’ai donc lu cette thèse, puis d’autres livres de Pedretti, puis bien sûr les biographies de Léonard (Vasari, Arasse, Bramly …), les ouvrages de Léonard… J’ai fait des recherches dans les bibliothèques spécialisées de Paris et à la bibliothèque de Romorantin pendant plusieurs mois.
 

Une bonne raison de lire votre livre ?

C’est un joli voyage, il me semble, dans le quotidien du peintre et de sa relation acharnée et intense au travail et à la création, et une belle rencontre avec le roi de France.
 


 

Pourquoi avez-vous choisi l’autoédition ?

J’ai été en relation avec une maison d’édition qui a accueilli le projet mais qui a mis beaucoup de temps à programmer le livre, alors pour faire vivre cette histoire j’ai décidé de me tourner vers l’autoédition. Elle permet une certaine liberté pour rester au plus proche de ce qu’a souhaité l'auteur, on a le choix et la maitrise de tous les aspects du livre, ce qui est assez intéressant, on a le sentiment de pouvoir faire passer le message souhaité non seulement à travers le texte mais aussi la mise en page, la couverture...
 

Quels conseils donneriez-vous à un auteur qui rêve d’écrire un livre mais n’a jamais osé se lancer ?

Écrire, seulement écrire, car « après », c’est toujours trop tard !
 

Lire un extrait du livre sur Iggybook.


Partager