Questions à Philippe Laplace

Le livre
Pouvez-vous résumer votre livre en quelques phrases ?

Si je vous parle d’univers peuplés par les Fées, les Elfes, les dragons..., de la célébrissime Excalibur, des Templiers, des pyramides, de la cité des Incas... Que cela représente-t-il pour vous ? Des légendes parmi tant d’autres ?
Les Larmes d’Aaèndill est un roman de fantasy qui vous invite à la réflexion. Ne vous êtes-vous jamais questionné sur la possible présence d’un monde dit fictif par l’Homme et qui, pourtant, serait la source de toute existence et toujours en totale interaction avec notre société ? La peur, l’inconnu, le pouvoir ont depuis longtemps corrompu nos convictions. Aujourd’hui, je vous fais voyager dans le temps et vous livre la clé qui ouvrira les portes d’un monde où le réel et l’imaginaire ne font qu’un, où les croyances limitantes n’ont pas leur place.
Quand les légendes sont depuis toujours une réalité…

Qu’est-ce qui vous a donné l’idée de la thématique de votre livre ?
J’ai toujours eu une attirance particulière pour la fantasy et ce monde de l’invisible dans lequel l’homme range tant de légendes... et si tout était vrai ?

Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire ce livre ?
J’ai lu beaucoup de livres dans ma vie, mais je n’ai jamais trouvé celui que je recherchais, alors je l’ai écrit.

Quelle a été votre source d’inspiration, l’événement qui vous a poussé à écrire ce livre ?
La vie en générale, avec tout ce qu’elle a de bon ou de mauvais. L’envie d’écrire ce roman est née il y a environ une quinzaine d’années lorsque je me suis posé certaines questions existentielles, et Les Larmes d’Aaèndill est la somme de toutes les réponses que j’ai découvertes.

Parlez-nous de l’univers que vous avez créé dans votre livre
L’univers du livre est aussi sombre qu’il est merveilleux. On y découvre l’origine de la magie et un univers bouillonnant peuplés d’innombrables peuples, créatures, animaux, plantes... reliés entre eux par ces légendes qui vivent à l’ombre de nos vies sans que l’on s’en rende vraiment compte. Pourtant elles sont là et depuis toujours elles impactent et modèlent l’histoire de notre planète.

Quel message avez-vous envie de faire passer à travers votre livre ?
Dans ce roman, je dépeins une certaine philosophie qui est en totale opposition avec nos préoccupations des soucis matériels de la vie et qui tend vers la nature, les énergies, l’amour... Ce que nous voyons ou touchons n’est en réalité qu’une infime partie de ce qui est. Comme je le dis au début de mon roman, regarder le monde avec les yeux c’est simplement l’effleurer, à peine l’imaginer, mais toujours le tenir à distance. Seuls le cœur et l’âme peuvent le toucher, car l’essentiel demeure invisible au regard.

Y a-t-il une dimension autobiographique dans votre livre ?
Non aucune. C’est une histoire totalement imaginaire bien que chaque auteur laisse malgré tout une part de lui-même dans ses récits.

Les lecteurs
À qui s’adresse votre livre ?

Il s’adresse à toutes personnes qui ont besoin d’évasion et de rêves... et éventuellement de quelques réponses.

Une bonne raison de lire votre livre ?
Ce roman invite à l’évasion, mais également à une remise en question de l’ordre des choses. L’invisible est à nos portes depuis toujours...

L’auteur
Comment construisez-vous votre intrigue ?

Avant d’écrire ce livre, j’ai raconté l’histoire de chacun de mes personnages, qui ils étaient, d’où ils venaient, où ils allaient... ensuite, les idées me viennent spontanément. Je prends des notes et je me noie au milieu d’une liasse de papier désorganisée. Il n’y a que moi et l’histoire, bercés par le doux fond sonore de la nature. Je vois, j’écris. 

Comment cherchez-vous l’inspiration pour vos livres ?
Tout ce qui m’entoure est source d’inspiration pour moi. Si l’on sait où regarder, le monde nous offre une multitude infinie d’idées, mais mes plus belles inspirations sont nées des interminables discussions avec ma femme et de mes longues ballades en forêt.

Quels sont vos rituels d’écriture ?
J’écris le plus régulièrement possible, mais lorsque je compose de la poésie ou des scènes particulièrement difficiles, j’ai besoin de la nuit. C’est avec elle que je suis le plus créatif.

Quels sont vos auteurs favoris, ceux qui vous inspirent ou que vous considérez comme vos modèles ?
Il y a tant d’auteurs qui ont jalonné ma vie, mais pour n’en citer que quelques-uns : Victor Hugo, Jules Vernes, Jim Fergus, Stendhal, Anna de Noailles, Cornellia Funke, Émile Zola, J.J.R Tolkien, Tolstoï, Hemmingway...

Parlons de vous : depuis quand écrivez-vous ? Comment vous est venue l’envie d’écrire ?
Du plus loin que je me souvienne, j’ai toujours eu une passion pour l’écriture. Pendant de nombreuses années, j’ai écrit de la poésie puis de petites histoires, des textes de chansons, des nouvelles... L’envie d’écrire un roman est née bien plus tard, il y a environ une quinzaine d’années lorsque je me suis posé certaines questions existentielles. De là est né Les Larmes d’Aaèndill.

L’autoédition
Pourquoi avez-vous choisi l’autoédition ?

La liberté et l’indépendance, tout simplement.

Quels conseils donneriez-vous à un auteur qui rêve d’écrire un livre, mais n’a jamais osé se lancer ?
Simplement ceci : « De toutes les jouissances que peut éprouver un auteur, aucune ne peut l’emporter sur le plaisir d’écrire. » Cécile Fée ; Pensées, Paris 1832

 

Ses projets
Quels sont vos prochains projets d’écriture ?

Je viens de mettre un point final à Fleurs des Âmes, un recueil de poèmes qui devrait paraître prochainement et bien entendu je parachève le tome 2 des Larmes d’Aaèndill qui lui sera publié début 2023.


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